Si vous êtes citoyen français et que vous avez hérité d'un bien immobilier en Espagne, il est important de comprendre le processus de gestion d'un héritage en Espagne en tant qu'étranger non résident.

L'impôt sur les successions est applicable en Espagne et est géré par les communautés autonomes. Le taux d'imposition varie de 7,65% à 34% en fonction de la valeur de l'héritage. Consulter notre article sur Comment fonctionne une succession en Espagne et combien d'impôts vous payez en héritant.

Pour traiter l'héritage, vous devrez obtenir plusieurs certificats, notamment des certificats de décès, des certificats de dernière volonté et des certificats d'assurance-vie.

Il est crucial de savoir quelles réglementations régionales spécifiques s'appliquent à votre cas. Il est recommandé de demander conseil à un notaire espagnol pour vérifier votre capacité à hériter.

Lorsqu'une personne résidant en Espagne décède, la loi applicable est la loi espagnole. Si la personne décédée était un non-résident, la loi de son pays d'origine peut également s'appliquer.

En résumé, gérer un héritage en Espagne en tant qu'étranger non résident peut être complexe. Il est important de comprendre les obligations fiscales, les procédures légales et les documents requis pour traiter l'héritage. Demander conseil à un notaire espagnol peut également vous aider à vérifier votre capacité à hériter.

Comment se déroule une succession en Espagne pour un français

En Espagne, la succession d'un Français se déroule selon les règles du droit espagnol. Les héritiers sont déterminés selon l'ordre de priorité établi par la loi espagnole, qui peut différer de celui de la loi française.

Le premier héritier est le conjoint survivant, suivi des enfants, des parents, des frères et sœurs, des neveux et nièces, et enfin des autres parents jusqu'au quatrième degré.

Le processus de succession commence par la déclaration de la mort du défunt et la demande d'un certificat de décès. Ensuite, les héritiers doivent obtenir un certificat d'héritier auprès d'un notaire espagnol, qui établira un acte de succession.

Les héritiers doivent également payer les droits de succession, qui varient selon la valeur de l'héritage et le lien de parenté avec le défunt. Enfin, les biens de l'héritage sont distribués entre les héritiers selon les règles de la loi espagnole.

Il est recommandé de consulter un cabinet d'avocats spécialisé en droit international et en droit des successions comme le nôtre pour obtenir des conseils sur les démarches à suivre et les implications fiscales de la succession en Espagne.

Comment est appliqué le droit de succession en Espagne pour les non résidents

En Espagne, le droit de succession pour les non-résidents est régi par la loi espagnole. Les règles applicables peuvent varier en fonction de la nationalité du défunt et des accords internationaux éventuels entre l'Espagne et le pays d'origine du défunt.

Les non-résidents sont soumis aux mêmes règles de succession que les résidents espagnols, mais il peut y avoir des différences en ce qui concerne les taux d'imposition et les exonérations fiscales.

Lorsqu'un non-résident décède en Espagne, les héritiers doivent effectuer les mêmes démarches que les résidents pour obtenir un certificat d'héritier auprès d'un notaire espagnol. Ils doivent également payer les droits de succession, qui peuvent être calculés en fonction de la valeur des biens situés en Espagne.

Il est important de noter que certains pays ont signé des conventions fiscales avec l'Espagne pour éviter la double imposition en matière de succession. Ces conventions peuvent prévoir des règles spécifiques pour les non-résidents.

Impôts français succession d'un bien en Espagne

Lorsqu'un bien situé en Espagne fait partie d'une succession d'un résident français, il est important de prendre en compte les règles fiscales françaises et espagnoles.

Du côté français, les héritiers doivent déclarer la succession et payer les droits de succession en France, conformément à la législation fiscale française. Les taux d'imposition et les exonérations fiscales dépendent du lien de parenté entre le défunt et les héritiers, ainsi que de la valeur de l'héritage.

En ce qui concerne l'Espagne, les héritiers doivent également payer les droits de succession en Espagne pour le bien situé sur le territoire espagnol. Les taux d'imposition et les exonérations fiscales en Espagne peuvent différer de ceux de la France.

Il est important de noter que la France et l'Espagne ont signé une convention fiscale pour éviter la double imposition en matière de succession. Cette convention prévoit des règles spécifiques pour déterminer la compétence fiscale et éviter la double imposition.

Comment se passe une succession en Espagne ?

La France et l'Espagne ont signé, le 8 janvier 1963, une convention fiscale pour éviter la double imposition des successions.

Qui peut hériter en Espagne ?

Les héritiers réservataires sont, en premier lieu, les enfants (naturels et adoptifs, maritaux et hors mariage) et descendants et, à défaut, les parents et ascendants. De son côté, le veuf/veuf héritera de la manière établie par la loi.

Qui hérite en premier ?

En premier lieu, les enfants ou descendants du défunt ou du défunt hériteront . Si le défunt laisse une veuve ou un veuf, ils auront droit à l'usufruit d'un tiers de l'héritage (amélioration d'un tiers).Deuxièmement, si le défunt n'avait pas d'enfants ou de petits-enfants, les ascendants du défunt ou du défunt hériteront

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